Nous faisons lever la gardienne de l’hôtel pour pouvoir sortir.
C’est dimanche, il est tôt, pas de petit déjeuner en vue : on verra plus loin.
Sur une place on tourne autour d’un 4x4 immatriculé dans le Gard. Ça dort à l’intérieur, on file, dommage.
On croise des gens qui baillent : la route s’éveille.
Dzitas, 14 km plus loin, le petit déjeuner nous attend : des Tamalitos (sandwich à base de porc bien cuit). Pas de café.
Le boucher attend ses clients
Sur la route, ces nids suspendus, un véritable travail de tisserand
Quelques mètres devant ma roue avant j’aperçois une sorte de branche dans l’ombre d’un tronc d’arbre. J’évite de justesse et en passant je m’aperçois qu’il s’agit d’un serpent, complètement immobile. Que fait-il là ? Mystère.
Bien caché dans l’ombre du tronc. Il nous attendait ?
Je tape du pied pour le réveiller. A la seconde fois il a vite fait de s’esquiver de l’autre côté à une vitesse surprenante
De l’autre côté de la route ça brûle
Espita, je reviens des provisions pour la pause de 10 heures. Des fruits frais. Appétissants n’est-ce pas ?
C’est la sortie de la messe à Espita
Motos et vélos taxis attendent les clients, on quitte Espita, plus que 28 km pour atteindre Tizimin. Le soleil cogne déjà fort.
Les chiffres du jour : 77 km, 162 m de dénivelé positif et pratiquement autant de négatif.
Nous sommes à 4122 km de Panama notre point de départ.
Demain nous serons à Rio Lagartos pour aller voir les flamands roses, un jour de repos, puis retour sur Valladoïd et direction Cancùn pour prendre l’avion.
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