2 Septembre 2016
Les Verneys se situe 2km après Valloire mais 2km qui montent et nous ramènent à l’altitude du Télégraphe que nous avons franchi ce matin.
C’est important car demain matin Le Galibier ne sera qu’à 15 km avec 1100 m de dénivelé puis ce sera la longue descente de 35 km sur Briançon avant de repartir sur l’Izoard (pour le moral de Jeanine : promis on ne le fera pas le même jour). On avisera à Briançon. Il y a aussi la solution de faire étape à Cervières à mi-chemin dans la montée de l’Izoard.
En attentant nous nous sommes arrêtés juste après le piquenique aux Verneys après Valloire. Cela va permettre de se reposer pour la deuxième moitié de notre parcours. Et oui, nous sommes à mi-chemin : 383 km et 8300 m de dénivelé pour 800 km prévus de retour aux Herbiers et 17000 m de dénivelé. Mentalement, le point de bascule c’est important, très.
Comment va l’équipe ? On s’adapte : j’ai pris les sacoches de Mme, ce qui m’en fait 7, euh pardon 5, cela fait que lors des pauses en ascension elle n’est jamais très loin. On a raccourci l’étape d’hier. Surtout ne pas s’obstiner quand on sent que ça commence à partir en vrille. De toute façon on avait un jour blanc, donc pas de problèmes on sera bien à Nice le 6 pour être aux Herbiers le 7.
Aujourd’hui plein soleil et une seule ascension : le Télégraphe mise en bouche du Galibier.
Partis de Termignon on poursuit la descente de l’Iseran par Modane et à St Michel en Maurienne on tourne à gauche.
Les chiffres du jour : 1054 m de dénivelé positif pour 54 km
La suite en quelques images, moins grandioses qu’hier, mais avec le soleil.
Toujours dans les insolites aux Verneys : sculpture en paille d’un cerf tellement affamé qu’il a un trou dans le ventre !