Hier soir, chez Nathaly à Valle Las Minas (près d’Hornito), au menu c’était cuisse de poulet, frites et jus de papaye. Pour les prochains repas Jeanine évitera le jus de papaye pourtant très agréable au palais.
Partant de 1200 m, la journée comporte beaucoup de descentes pour retrouver le niveau de la mer 20 km plus loin. Et là encore montées et descentes se succèdent mais ici rien n’existe en-dessous 10 % et quand on arrive à 15 % la sanction c’est : « Mets pied à terre et pousse mon brave ! ».
Chez Nathaly juste à l'entrée du chemin qui conduit aux cabines Jilguero
Les panoramas de paysages de montagne sont toujours magnifiques
On arrive au « Lago Fortuna »
Le « Lago Fortuna » est en fait un barrage
Halte restauration, on rencontre le frère (en bleu) de Lorna, une chanteuse reggae célèbre en Europe que vous vous connaissez peut-être
Une route agréable, ombragée et des pentes devenues acceptables
L’échelle est là pour aller cueillir les noix de coco
L’océan atlantique n’est pas très loin, la végétation est toujours très présente
Silico Creek vue d’en haut. Sandrine, que ceux du MAC2016 connaissent et rencontrée hier soir par hasard, avait contacté Arnoldo hier pour le prévenir de notre arrivée. Donc nous étions attendus. Surprise ! Il nous passe au téléphone Caroline, une française, pour traduire ce qu’il a dit (bien que j’avais globalement compris)
Arnoldo vient de nous installer dans la cabane et teste l’accrochage du hamac : ça va ça tient
Avec le neveu d’Arnoldo et Caroline Dubois, native de Chaillé sous les Ormeaux en Vendée
Pour être plus proche de la nature, il aurait fallu coucher dehors
Jeanine apprécie le confort du hamac
La journée se termine avec Caroline chez Arnoldo pour le diner.
Caroline Dubois est pour 6 mois au Panama en service civique international. Avec Arnoldo comme maitre de stage, elle participe au développement du micro-crédit (1000 $ maxi) pour mettre à des micros entreprises, de se construire ou de se développer. Le prêt, est financé par du crowdfunding (financement participatif).
Les moustiques apprécient notre présence, aussi on va bien vite se renfermer sous la moustiquaire dans notre cabane.
Les chiffres du jour : 73 km et 873 m de dénivelé avec des pentes auprès desquelles nos collines vendéennes sont presque à mourir de rire.
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