On quitte Bélize pour Orange Walk 90 km plus au nord en direction du Mexique.
La route est extrêmement plate. Quelques photos de maisons au départ, une entrée d’école le long de la route puis c’est une route déserte : quelques maisons à droite à gauche puis un grand vide jusqu’à une station-service où on fait la pause de 10 heures.
Quand arrive le moment de repartir, pas d’étui à lunettes ni lunettes dans ma sacoche de guidon. On appelle à l’hôtel : pas de lunettes. J’ai pu les laisser à l’endroit du petit déjeuner mais on ne trouve pas le numéro de téléphone.
Je reprends mon vélo, sans les sacoches, et retourne sur 15 km pour visiter les endroits où je me suis arrêté pour des photos. Rien non plus ! On ressort la vieille paire de secours toute rayée et on repart.
A l’arrivée cela me fait 119 km contre 88 pour Jeanine restée m’attendre à la station-service.
On vient de prendre le petit déjeuner. Le beau « Belize City » (et nous avec) méritaient bien la photo.
Beaucoup de petits « buffets parasols » de ce genre où les gens achètent pour la valeur de 1 ou 2 € quelque chose à manger
Une série de maisons typiques de Bélize
Une école primaire de 600 élèves. A l’entrée quelques-uns achètent friandises, eau, ou un peu à manger
Jeanine en profite pour faire quelques photos. A noter qu’à Belize 90 % des gens sont de race noire
Certaines coiffures sont bien joliment agrémentées de couleurs vives
Un portail qui ferait bonne mesure rue Gâte Bourse
Un pneu de la toupie a éclaté. L’aigle ne s’est pas envolé et continue de tourner autour. Au vu de tout ce qui traine sur les bas-côtés les pneus qui éclatent cela semble courant.
Les rastas ne manquent pas au Belize. Pas toujours volontaires pour la photo. Sa tenue pour lui, notre « statut » de voyageur à vélo nous marginalisent un peu tous les deux. Après quelques échanges, il a bien voulu accepter.
Cameron le patron de la seule station-service de la route (hormis celles de Belize City). Bien sympathique, il a appelé l’hôtel pour mes lunettes. Hélas sans résultat.
Cameron et son employé ont bien voulu poser pour une dernière photo avant de partir.
Le paysage plat, morne et sans vie sur des dizaines de km. Heureusement on avait à boire dans nos bidons.
Quelques km avant Orange Walk une raffinerie de cannes à sucre. Ça fume !
Une longue file de camions lourdement chargés attendent l’heure d’ouverture
Un vélo adapté pour le « transport en commun »
Suite du feuilleton « Saperlipopette où sont mes lunettes ? » : sur la photo « Belize City » je retrouve le site internet de l’endroit où on a déjeuné. Arrivés à l'hôtel je prends contact avec eux par chat et par mail.
A 17h30 c’est un peu tard ils chercheront demain matin. L’espoir fait vivre dit-on. Réponse demain ou plus tard.
En ce qui nous concerne : demain journée de repos et visite du plus beau site maya du Belize auquel on accède en bateau par une rivière.
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