Toujours motivés mais plus encore ce matin car en fin de matinée on posera nos vélos pour deux jours et demi à San Salvador la capitale (290 000 habitants et 1 740 000 pour l’agglomération en 2013).
Auparavant nous avons pris soin de réserver l’hôtel et de programmer le parcours pour que le GPS nous emmène à la porte de l’hôtel. Ce qu’il a fait sans problème.
Pour monter à San Salvador, nous avons fait le choix d’une route secondaire plutôt que l’autoroute trop bruyante. La route n’est pas spécialement « panoramique » mais on y est tranquille malgré le va et vient des bus. La montée n’est pas trop raide mais à la fin de l’étape de 38 km ce sont quand même 1002 m de dénivelé.
L’après-midi nous descendons à pied dans le centre historique. Pour le retour, la nuit tombant, nous préférons le taxi : plus sûr.
Au loin c’est l’autoroute que Jeanine aurait préféré prendre, pensant que ça montait moins dur.
Un vélo utilitaire avec son panier et une petite roue devant
Ils passent faire la livraison des journaux
Une perspective intéressante
L’inévitable litre de coca
Nous suivons le GPS à la trace
C’est la cathédrale, on ne doit pas être loin du centre
L’après-midi, en partant vers le centre historique, le lavage des voitures, pour 2 $, est une activité qui marche.
On suit le flot des passants dans les rues marchandes du centre
Non, Jeanine ne veut pas acheter la brouette mais voudrait bien que le vendeur se retourne pour la photo. Demain peut-être.
La cathédrale de San Salvador, détruite en 1950 et reconstruite en 1999 était le siège de Mgr Oscar Romero assassiné lors de la guerre civile du Salvador (wiki). Mgr Romero est au Salvador une icône : sa photo est en bonne place dans les églises et les écoles
Policiers et militaires sont bien en évidence dans le centre historique.
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