Blog de gatebourse Les Herbiers (France) - Voyages à vélo

Découvrir de nouveaux paysages, de nouvelles régions, d’autres pays, des cultures différentes… Le voyage, à vélo à une allure modérée, permet d’avancer avec la possibilité de s’arrêter pour découvrir de nouveaux paysages et échanger avec les autres au hasard des rencontres. Nos principaux voyages : 2019 Inde et Népal, Traversée des Alpes, 2018 Irlande, 2017 Amérique Centrale, 2016 La traversée des Alpes (Thonon - Menton), MAC2016 en Amérique Centrale, 2015, 3 mois au Cambodge, Laos et Vietnam ; 2014, la Corse à vélo ; 2012, 5 mois pour 14 500 km de Pékin à Londres avec la FFCT; 2011, le raid Pyrénéen (28 cols/10 jours) ; des vacances à vélo à traverser la France sur une dizaine de jours les années précédentes...

Panajachel, Guatemala à vélo 1er Mars 2017. Une etape marathon.

On avait anticipé pour partir au plus tôt. Dès 6h15 on était attablé pour le petit déjeuner. Au moment du départ on s’aperçoit que le parcours n’a pas été chargé sur le GPS. Mea-culpa. Retour à l’hôtel, c’est la porte à côté. Un quart d’heure plus tard c’est fait.

La sortie d’Antigua est assez longue : Antigua ce n’est pas que le centre historique.

Les côtes arrivent. C’est normal on sait qu’il y a beaucoup de dénivelé. On quitte la panaméricaine pour une route plus tranquille.

Arrivés à San Andres Itzapa le GPS nous emmène dans des ruelles puis on voit en face un chemin de terre qui semble monter au ciel tellement la pente est raide. On fait demi-tour pour rejoindre la Panaméricaine. Le résultat c’est plus 13 km arrivés au terme de l’étape, sans compter le dénivelé inutile ni le temps qui s’écoule. Morale de l’histoire : lors du tracé d’un parcours Openrunner choisir l’option voiture plutôt que vélo et vérifier sur la carte en même temps.

La suite racontée en images.

Petit déjeuner dans l’épicerie à côté de l’hôtel : sympa la patronne d'avoir fait ça pour nous rendre service

Petit déjeuner dans l’épicerie à côté de l’hôtel : sympa la patronne d'avoir fait ça pour nous rendre service

Sortis de la Panaméricaine, sur la petite route on rencontre la vie de tous les jours des riverains
Sortis de la Panaméricaine, sur la petite route on rencontre la vie de tous les jours des riverains

Sortis de la Panaméricaine, sur la petite route on rencontre la vie de tous les jours des riverains

Le champ a été travaillé. Deux ou trois coups de bêche pour deux ou trois grains de maïs
Le champ a été travaillé. Deux ou trois coups de bêche pour deux ou trois grains de maïs

Le champ a été travaillé. Deux ou trois coups de bêche pour deux ou trois grains de maïs

San Andres Itzapa. On vient de faire demi-tour le moral reste au beau fixe.

San Andres Itzapa. On vient de faire demi-tour le moral reste au beau fixe.

De larges horizons avec des petits carrés verts. Beaucoup de « maraichage » dans la région

De larges horizons avec des petits carrés verts. Beaucoup de « maraichage » dans la région

Tout le monde n’a pas sa machine à laver

Tout le monde n’a pas sa machine à laver

Le puits est busé (moins d’un mètre de diamètre). Ils sont en train de le nettoyer. Il y a quelqu’un au fond 50 mètres plus bas me dit-on.

Le puits est busé (moins d’un mètre de diamètre). Ils sont en train de le nettoyer. Il y a quelqu’un au fond 50 mètres plus bas me dit-on.

Nous sommes à Patzun à 2300 m d’altitude. Il est 14H00. Déjà quelques côtes bien raides nous ont obligés à mettre pied à terre. Ensuite vient une longue descente puis une montée de 400 mètres qui nous donne la chair de poule tellement elle parait raide sur le GPS. Ensuite ce sera 20 km de descente pour rejoindre Panajachel au bord du Lac Atitlan.

Nous sommes à Patzun à 2300 m d’altitude. Il est 14H00. Déjà quelques côtes bien raides nous ont obligés à mettre pied à terre. Ensuite vient une longue descente puis une montée de 400 mètres qui nous donne la chair de poule tellement elle parait raide sur le GPS. Ensuite ce sera 20 km de descente pour rejoindre Panajachel au bord du Lac Atitlan.

On fait la causette et on prend un peu de temps pour se reposer. Bébé dort.
On fait la causette et on prend un peu de temps pour se reposer. Bébé dort.
On fait la causette et on prend un peu de temps pour se reposer. Bébé dort.

On fait la causette et on prend un peu de temps pour se reposer. Bébé dort.

Sortis de Patzun nous sommes dans la descente. La route en fond de paysage nous attend.

Sortis de Patzun nous sommes dans la descente. La route en fond de paysage nous attend.

Un aperçu de la route. Pas très agréable dans les montées comme dans les descentes, et comme il n’y a rien de plat…
Un aperçu de la route. Pas très agréable dans les montées comme dans les descentes, et comme il n’y a rien de plat…

Un aperçu de la route. Pas très agréable dans les montées comme dans les descentes, et comme il n’y a rien de plat…

Ici le pont à disparu. Nos sandales sont bien pratiques .Ça rafraichit les pieds.

Ici le pont à disparu. Nos sandales sont bien pratiques .Ça rafraichit les pieds.

Dans la dernière grande montée, après 100 m de dénivelé encaissé (il en reste au moins 300), on comprend que si on veut arriver avant la nuit il faut un plan B.

Voilà le plan B ! Un camion veut bien s’arrêter. On monte les vélos sur la benne pleine de sable et nous voilà partis pour 3 km à petite vitesse car lui aussi il peine. Mais il monte. D’autres compagnons de voyage (ceux qui ont dû charger le sable) descendent en cours de route sans que le camion s’arrête tellement il monte lentement.

Voilà le plan B ! Un camion veut bien s’arrêter. On monte les vélos sur la benne pleine de sable et nous voilà partis pour 3 km à petite vitesse car lui aussi il peine. Mais il monte. D’autres compagnons de voyage (ceux qui ont dû charger le sable) descendent en cours de route sans que le camion s’arrête tellement il monte lentement.

Super sympa le camionneur qui nous dépose en haut de la côte.
Super sympa le camionneur qui nous dépose en haut de la côte.
Super sympa le camionneur qui nous dépose en haut de la côte.

Super sympa le camionneur qui nous dépose en haut de la côte.

Le lac Atitlan (1500 m d’altitude) est dans la brume du soir.

Le lac Atitlan (1500 m d’altitude) est dans la brume du soir.

Nous sommes presqu’arrivés à Panajachel. Il ne reste plus qu’à trouver l’hôtel.

Nous sommes presqu’arrivés à Panajachel. Il ne reste plus qu’à trouver l’hôtel.

Les chiffres du jour : 93 km, 1776 m de dénivelé dont 300 en camion.

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G
Bonjour nos chers voisins, <br /> Merci de nous faire voyager avec vous, les photos sont superbes et avec les commentaires,on s'y croit...Rien à signaler "Rue Gâte Bourse" tout se passe pour le mieux, Joseph s'occupe bien de vos plantes, elles sont presque aussi belles que celles de vos photos... Bon Voyage, <br /> Bises à vous deux. Marie-reine et Joseph
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G
Merci chers voisins vous êtes des perles
B
Merci encore pour ces belles photos on voyage avec vous!!! Bonne continuation.
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G
Merci<br /> On prévoira un point de rencontre aux Sables cet été