3 Mars 2017
Le petit déjeuner n’étant qu’à 8 heures, on part revoir les lavoirs du parc de Santa-Clara. Puis on décide d’aller visiter la « Finca Filadelfia » dont l’activité est la production du café.
L’après-midi on se branche sur « mode relax ».
Toujours sur la route de la « Finca Filadelfia » un homme nous invite à rentrer visiter son atelier de production de bijoux, son magasin surtout. A base de pierres de jade de différentes couleurs : vertes bien sûr mais aussi claires et anthracites
L’entrée de la « Finca Filadelfia » : le gardien, zélé, me demande mon passeport qui est resté à la chambre, je lui montre une carte de visite et il nous laisse passer
Ici on ne produit que de l’arabica mais on greffe l’arabica sur une tige de robusta plus résistante aux maladies et insectes. A noter que les femmes ont un taux de réussite des greffes de 85 % et les hommes de 65 % en raison d’une plus grande acidité des mains de l’homme (c’est la version du guide).
Les jeunes plants greffés n’ont plus qu’à pousser à l’ombre d’arbres d’origine australienne peu gourmands en ressources minérales
Les caféiers sont bien garnis. Les grains de café juste cueillis. La pulpe a un goût très doux et le grain conserve deux enveloppes qui partiront au séchage
La « Finca Filadelfia » emploie 400 personnes à la production du café sur 240 hectares. Le gros de la production part au Japon. La visite se termine par une dégustation qui nous convainc que désormais on va ressortir notre moulin à café.
C’est l’après-midi « mode relax ». Nos sacoches de vélos sont, heureusement, déjà bien pleines et bien lourdes : on n’en rajoute pas.
Demain on part pour Panajachel au bord du lac Atitlan, un des plus beaux du monde dit-on. L’étape sera une des plus difficiles, tout comme les 3 prochaines à venir au Guatemala.
A Panajachel on prend un autre jour pour apprécier pleinement la beauté du lac entouré de volcans.