Dès le lever du jour on sort pour la vue sur les volcans qui ont l’habitude de se cacher la tête dans les nuages en milieu de matinée.
On revient prendre le petit déjeuner et on part à la découverte d’Antigua.
Au sud le volcan de Agua est majestueux. A l’ouest les volcans de Fuego et Acatenango paraissent bien loin. Le volcan Fuego est très actif, sa dernière éruption date de la semaine dernière ! C’est probablement l’origine des scories (poussières) que nous avons trouvé sur le bas-côté de la route en montant à Antigua hier.
Ces mêmes volcans vus du premier étage de l’Ayumiento (mairie). C’est le seul monument qui est resté debout après le terrible tremblement de terre de 1773.
La façade est trompeuse. La cathédrale d’Antigua n’a jamais été reconstruite totalement.
On peut mesurer l’ampleur de l’édifice avant le tremblement de terre de 1773. C’est ce dernier séisme (il y en avait eu de nombreux auparavant) qui décida les espagnols à déplacer la capitale à Guatemala Ciudad.
La fontaine du Parque Central
Le Parque Central fourmille de vendeurs de produits artisanaux pour les touristes. La photo n’est permise que si vous achetez. Comme on n’a pas de place dans nos sacoches vélos le sourire n’est pas au rendez-vous.
On envoie peu de cartes postales… Il ne restait plus qu’à poster les 5 qu’on avait écrites. Sauf que le service international du courrier est transféré à une entreprise privée qui n’a pas mis encore en place le service. Pour l’envoi d’une carte postale, on s’est renseigné, il faut prévoir 25 $ et 74 $ chez un autre (1 $ = 1 € pour faire simple) ! Résultat, on ira les porter directement aux destinataires à notre retour.
Petit tour au marché artisanal pour le plaisir des yeux.
Les québécois rencontrés au Honduras nous avaient dit « à Antigua allez voir le couvent Santo Domingo qui a été transformé en hôtel de luxe, l’entrée est libre ». Effectivement le cadre est vraiment exceptionnel et les photos ne traduisent que partiellement la quiétude et le calme qu’on y trouve à en parcourir les espaces. Pour le prix de la chambre, c’est une autre histoire.
De nombreux perroquets Ara agrémentent le lieu de leurs cris. Ils sont en liberté et semblent bien se plaire ici.
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