Petite étape aujourd’hui encore avec 43 km mais 822 m de dénivelé.
On quitte San Miguel par la Panaméricaine. Dix km plus loin on bifurque à gauche et on prend une petite route qui rejoint la "route du littoral" parallèle à la Panaméricaine mais plus plate et un peu moins fréquentée.
La fameuse petite route passe sur la gauche du volcan San Miguel et ses 2130 m. Sur la droite le volcan de Chinameca est plus modeste.
Pour passer entre les deux ça monte régulièrement jusqu’à une altitude de 880 m. Ici pas de nom de col ni de bornes kilométriques avec les pourcentages. Mais c’était un petit col sympa.
La suite en photos.
Le volcan San Miguel est encore en activité. Il fume plus ou moins selon son humeur. Le photographe n’est pas resté longtemps au milieu de la route
Elle est belle ma pastèque semble-t-il dire
Lui, nous voyant engagés dans cette route qui monte, nous propose ni plus ni moins de monter dans le pickup. Bien sûr, j’ai refusé poliment.
Voilà le retour des cactus mais on ne voit plus l’arbre du voyageur
Des copains rencontrés sur la route. L’homme au chapeau a travaillé deux ans à Barcelone mais n’a pas eu le temps de venir en France
Le port sur la tête est très commun. il est souvent accompagné d'un balencement des hanches assez harmonieux. Très bon pour la colonne vertébrale dit-on.
Elle vient de « gauler » un fruit. Peu de temps après elle nous fera goûter une mangue verte qui a un goût un peu citronné.
L’habitat est très spartiate mais cela n’empêche pas la coquetterie
Beaucoup d’arbres en fleurs dans la montée du col du volcan San Miguel
Si le volcan se réveille, la route d’évacuation c’est par là
De quand datent ces pierres de lave ? La dernière éruption significative date de 1976
Au Salvador, comme dans les autres pays d’Amérique Centrale, on est très croyant
A 72 ans, la canne et la machette à la ceinture
Agréable et tranquille la descente
Au carrefour San Jorge avant de retomber sur la route du littoral
Il est midi, en sortant du bureau de l’hôtel Campo Real après la réservation de la chambre
Enfin une photo d’un gardien armé. Celui-là ne paraît pas bien méchant. C’est pour le respect me dit le patron de l’hôtel. Très commun au Salvador et au Honduras.
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